Départ sur un souffle de vent, comme pour la plume de Forrest Gump ⇗ (à partir de 0'10"), éventuellement à la trajectoire légèrement modifiée par un battement d’aile de papillon. On peut imaginer de tourner à nouveau la scène, ou de partir d’une mise en abyme d’un spectateur qui la regarde. On peut aussi imaginer de la reprendre en intégralité jusqu’à la moitié, mais au lieu de tomber à côté de Forrest Gump, la plume tombe à côté d’un autre personnage, assis sur le banc d’à côté (un plan large laissant croire que Forrest Gump est à une dizaine de mètres), à partir de qui l’histoire démarre.
Une boucle de type « retour à l’envoyeur », qui vient re-provoquer la cause initiale (effet absurde si on ignore le décalage dans le temps)
La scène finale détermine la naissance de MRCA (donc tout le film doit se passer dans l’antiquité, sauf si on intègre l’idée d’un voyage dans le temps)
On poursuit le scénario 2 à l’époque moderne par une ellipse comparable à celle de 2001 l’Odyssée de l’Espace ⇗ (à partir de 5'16").
La boucle commence à la création de la terre pour se terminer à sa destruction, ou bien on illustre deux branes différentes à partir d’une décision imputable au spectateur/lecteur à l’issue de son visionnage/lecture.